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29 novembre 2007
Drôle d’intitulé pour une situation non moins loufoque. Je m’explique : en bon citoyen, je m’astreins à la lecture quotidienne de la presse locale pour être au courant de ce qui se passe, s’il y a du nouveau…
En bon lecteur, je cherche les infos là où elles doivent se trouver, et… là, je tombe de bien haut !
Des colonnes et des pages pleines d’insultes et de contre-insultes, de répliques et des réparties de politiciens qui ne connaissent de la politique que ses non-sens…
Et la presse dans tout ça, elle perd de façon inquiétante sa faculté, plutôt son devoir analytique au profit de la simple communication dépourvue d’objectivité et d’opinion.
… Il est vrai que la paresse engendre la facilité, et vice versa…
Si le Liban demeure, au Moyen-Orient, le défenseur du droit à l’instruction et au savoir, il est urgent de relever la presse de sa léthargie pour éviter au peuple un inquiétant panurgisme.
Un citoyen optimiste