Mot d'Edmond Chidiac à l'occasion de la fête de l'Enseignant
le 8 mars 2004

 

Chers collègues,

Je me sens tout bizarre de présenter quelqu’un qui, d’habitude, fait lui-même les présentations.

C’est un ancien du Collège (promo 1973). Quelqu’un qui, depuis des années, est le roi de l’organisation de grands événements au Collège. Il s’agit, vous l’avez deviné de Nagy (avec un Y) Oidih (avec OI) Khoury, mais sans soutane.

J’ai connu Nagy en 1981, lorsque j’étais élève en classe de 1re. Il était alors responsable de division, sous la direction du préfet, M. Adib Chkeibane.

L’année suivante, en 1982, il fut nommé animateur socio-culturel. Sauf erreur de ma part, c’était la première fois qu’un établissement scolaire libanais instituait cette charge, je devrais dire ce métier. Parce qu’à ce titre, Nagy a relancé – et j’en suis témoin – les activités qui font jusqu’à présent la spécificité de notre collège et que la guerre avant interrompues :

Des activités qu’il a su faire survivre durant les moments les plus difficiles de la guerre.

Depuis 25 ans, il s’est voué corps et âme à ce Collège, qu’il a servi de toute son énergie et de toute son intelligence, sans compter… Sans compter que sur Dieu et lui-même. Au point de s’identifier à ce Collège qu’il continue d’aimer sans compter.

Quand je l’ai retrouvé comme collègue, 15 ans plus tard, il avait accompli plusieurs grandes choses :

Doté d’une capacité de communication sans pareil, il conduit à toute vitesse pour ne pas rater ses RV.

Mon cher Nagy,

Pour tous ceux que tu as marqués durant ces 25 années, et j’en suis, le corps professoral tient à te témoigner son amitié et sa reconnaissance.

 

 

 

Collège Notre-Dame de Jamhour, LIBAN
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